By night

Gala Incredible Women 2017 à Los Angeles

De gauche à droite : les actrices Brie Larson et Kate Bosworth ; l'actrice Charlize Theron avec la co-organisatrice de la soirée et présidente d'Universal Pictures Donna Langley ; la chanteuse nomminée aux Oscars Mary J. Blige ; les stars posent à NeueHouse, Hollywood.
Photographe Hannah Thomson
Reporter

QUOI ? Le dîner de l’Incredible Women Gala, co-organisé par la britannique Donna Langley, présidente d’Universal Pictures (la directrice d’un studio hollywoodien la plus influente de toute l’Histoire du cinéma) et par Lucy Yeomans, rédactrice en chef du magazine PORTER.

OÙ ? Le pôle créatif du NeueHouse, à West Hollywood.

QUI ? Les actrices Charlize Theron, Brie Larson, Kate Bosworth, Elizabeth Banks, Raquel Welch, Selma Blair, Gugu Mbatha-Raw, Sarah Gadon, Mia Goth et Melanie Griffith, ainsi que le réalisateur James Gunn, l’acteur Jeremy Renner, l’auteur et comédien Seth MacFarlane, la prétendante à l’Oscar Mary J. Blige et la ballerine et muse d’Estée Lauder Misty Copeland.

PORTER D’OR DU STYLE : Mary J. Blige dans une robe du soir blanche sculpturale signée Maticevski.

Les cérémonies rendant hommage aux grandes réussites hollywoodiennes sont légion à Los Angeles ; c’est pourquoi il était nécessaire que cet événement propose une approche complètement différente. Les intervenants, comme Brie Larson, Melanie Griffith ou encore Mary J. Blige, mieux que de discours, ont fait cadeau à un public de célébrités de lettres profondes, traitant de sujets cruciaux, et donnant lieu à de grands moments d’émotion. Le réalisateur James Gunn a ouvert le bal de cette soirée soutenue par Estée Lauder en lisant une lettre écrite par la mère de Danny DeVito et destinée à Kirk Douglas, qui remerciait ce dernier d’avoir engagé son fils et lui promettait de faire la promotion de son film en affichant des posters dans son salon de beauté. Elizabeth Banks a déclenché l’hilarité générale en partageant une lettre posthume de Caitlin Moran à sa fille. Mary J. Blige a quant à elle bouleversé l’assemblée avec la lettre d’Eleanor Roosevelt aux Filles de la Révolution américaine en 1939, dans laquelle elle leur annonce sa décision de quitter leurs rangs après qu’elles ont refusé à une cantatrice de couleur de chanter au Constitution Hall.

Dix lettres en tout ont tenu l’audience en haleine et permis d’attirer l’attention sur The Vital Voices Global Partnership, une organisation à but non lucratif dont Charlize Theron et Donna Langley sont les ambassadrices. En plus de favoriser les progrès des femmes en Afrique, Asie, Amérique Latine, au Caraïbes, au Moyen-Orient et en Amérique du Nord, elle s’associe aux grands leaders mondiaux pour offrir des opportunités économiques, encourager les initiatives politiques et publiques et mettre fin aux violences faites aux femmes. Pour en savoir plus, consultez le site vitalvoices.org, et letterslive.com__. pour tout savoir sur le gala.

Découvrez l’article dans son intégralité dans le numéro Spring 2018 de PORTER.

Les Filles de la Révolution américaine avaient l'opportunité de montrer l'exemple, mais, selon moi, l'association a échoué
Eleanor Roosevelt en 1939
Ancienne Première Dame des États-Unis
De gauche à droite : l'actrice Selma Blair et Kate Bosworth ; l'acteur Jeremy Renner ; l'actrice Elizabeth Banks ; l'actrice Melanie Griffith et sa fille Stella Banderas.
De gauche à droite : la co-organisatrice du gala et rédactrice en chef de PORTER Lucy Yeomans avec la ballerine Misty Copeland ; Raquel Welch et Brie Larson.

Les personnes mentionnées dans cet article ne sont pas associées à NET-A-PORTER et n’en assurent pas la promotion, ni celle des produits présentés.